Ville de l’histoire
En toi j’abolis mon passé
Pour créer sans cesse une aube
Le lot amer se dilue
Dans ta blanche éternité
J’ai égrené tes rues comme un chapelet
Moi l’étranger à la mémoire fêlée
Tes rues à la face radieuse
Est-ce là que j’ai vu la lumière