Déjà l’âge où se brisent les amarres
L’une après l’autre inévitablement
L’île blanche vacille sous nos yeux
Se dégage à regret de notre étreinte
Mouette prise un instant dans nos rêves
Des visages qui s’éteignent là-bas
Il ne reste plus qu’un vague sourire
Perdu dans les malles de la mémoire
Et de la mer dévorant le soleil